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Le prix de la liberté

Jean-Pierre Dikongué-Pipa, Cameroun, 1978

Après avoir refusé les avances sexuelles du chef de son village et bravé l'autorité de son père, une jeune femme s'enfuit de chez elle et se rend en ville. Elle y rencontre plusieurs membres de sa famille et tente de commencer une nouvelle vie. Elle entre au lycée, se fait des amis. Mais elle se rend compte que les relations sociales, en ville, dépendent également des faveurs sexuelles et que toutes ses amies se sont résignées à cette pratique. Quand elle perd le seul homme qu'elle ait aimé, elle retourne dans son village et, dans un accès de rage, y met le feu.
Après avoir refusé les avances sexuelles du chef de son village et bravé l'autorité de son père, une jeune femme s'enfuit de chez elle et se rend en ville. Elle y rencontre plusieurs membres de sa famille et tente de commencer une nouvelle vie. Elle entre au lycée, se fait des amis. Mais elle se rend compte que les relations sociales, en ville, dépendent également des faveurs sexuelles et que toutes ses amies se sont résignées à cette pratique. Quand elle perd le seul homme qu'elle ait aimé, elle retourne dans son village et, dans un accès de rage, y met le feu.
Durée
94 minutes
Langue
VO français
Sous-titres
anglais
Qualité
480p
Disponibilité
Mondial
Muna moto (1975)
Jean-Pierre Dikongué-Pipa
Cameroun
90′
N'Dome aime Ngando. Mais le jeune homme ne parvient pas à réunir la dot nécessaire au mariage et demande l'aide de son oncle. Mais celui-ci s'éprend de la jeune femme qui lui donnera, espère-t-il, l'enfant qu'il attend vainement de ses premières épouses. Il paie donc la dot, mais pour lui-même. De désespoir, la jeune femme se donne alors à l'homme qu'elle aime, mais ce geste ne décourage nullement l'oncle qui l'épousera en la sachant enceinte. Le vrai père, N’Dome, viendra, trois ans plus tard, reprendre son enfant. Voilà la trame de ce qui aurait pu donner un drame bien mélo. Les nombreuses récompenses obtenues par MUNA MOTO dans des manifestations internationales montrent qu’on trouvait là une mise en scène particulièrement originale pour l’époque. En effet, point de récit linéaire puisque le film commence à l'avant-dernière scène de l'histoire, quand le père enlève son enfant, en pleine fête du N'Gondo à Douala. Puis tout est construit en de multiples flash-back qui s'emboîtent les uns dans les autres, mêlés de projections oniriques sur un rythme très lent, de sorte que le spectateur passe de la réalité à l'imaginaire sans perdre le fil. Davantage évocation que récit épique MUNA MOTO donne une grande vérité à cette relation, ce qui stigmatise encore plus l'égoïsme et la bassesse de certains protagonistes et l'usage malveillant de certaines traditions. Cependant, MUNA MOTO ne se limite pas au thème étroit du couple ou de la dot. C'est toute une société qui se voit ; en particulier sont visés ceux qui, s'appuyant sur l'argent, exercent le pouvoir à quelque niveau qu'ils soient.
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