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Nostalghia

Andrei Tarkowski, Italie, 1983

Sous-titres français non disponibles pour ce film
Andrei Gortchakov, un écrivain russe, voyage à travers l'Italie sur les traces d'un compatriote compositeur, pour écrire sa biographie. Avec beaucoup de sensibilité pour les émotions de celui qui est loin de son pays, Andrei Tarkovski, soutenu par son co-scénariste italien Tonino Guerra, dessine une rencontre des cultures et des époques.
Andrei Gortchakov, un écrivain russe, voyage à travers l'Italie sur les traces d'un compatriote compositeur, pour écrire sa biographie. Avec beaucoup de sensibilité pour les émotions de celui qui est loin de son pays, Andrei Tarkovski, soutenu par son co-scénariste italien Tonino Guerra, dessine une rencontre des cultures et des époques.
Durée
126 minutes
Langue
VO russe
Sous-titres
allemand, anglais
Qualité
1080p
Disponibilité
Suisse, Autriche, Allemagne, Liechtenstein
Offret - Sacrifice (1986)
Andrei Tarkowski
Suède
149′
Dans Le Sacrifice, dernier film du réalisateur soviétique Andreï Tarkovski, une catastrophe nucléaire apocalyptique interrompt la fête d'anniversaire d'un comédien. Alexandre, ancien acteur célèbre (Erland Josephson), a réuni sa famille et quelques amis dans sa maison sur une île de la côte suédoise. C'est une belle journée jusqu'à ce que la radio annonce le nouvelle d'un désastre qui menace le monde entier. Pour que tout redevienne comme avant, Alexandre va faire un sacrifice, mais sera-t-il utile?
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L'enfance d'Ivan (1962)
Andrei Tarkowski
Russie
95′
Témoin de l'exécution de ses parents par les troupes allemandes, Ivan, encore gamin, veut se battre. Il développe un talent certain pour se glisser au travers des lignes ennemies et glaner des informations. Mais l'état-major veut le transférer à l'arrière pour qu'il rejoigne l'académie militaire. Ivan refuse et part rejoindre les partisans... Le premier film de Andreï Tarkovski, tout juste sorti diplômé du VGIK, fut mondialement salué comme un chef d'oeuvre. Il reçut le lion d'or de Venise, ainsi que de nombreux prix dans le monde entier. On y retrouve déjà l'écriture du maître, mêlant le réalisme objectif à la contemplation subjective. Malgré son succès mondial, le film fut mis au placard en URSS pour des raisons de politiques internes qui tenaient à la version officielle de la deuxième guerre mondiale de l'époque. A l'inverse de «Requiem pour un massacre» d'Elem Klimov (1985), mettant en scène lui aussi un enfant, mais qui montra la guerre en Biélorussie avec un réalisme quasi insoutenable, Tarkovski laisse une grande place aux rêves d'Ivan, mondes poétiques de son enfance et de sa famille perdues, qui s'opposent à la réalité crue de la guerre et à son désir de vengeance qui conduira Ivan à la mort.
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Nous nous sommes tant aimés! (1974)
Ettore Scola
Italie
120′
C'est l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma et c'en est une à l'italianité, à la vie et à l'amour. Nino Manfredi, Vittorio Gassman, Stefano Satta Flores et Stefania Sandrelli jouent les rôles principaux de ce voyage à travers l'histoire italienne du troisième quart du 20e siècle. Des figures telles que Vittorio De Sica, Federico Fellini et Marcello Mastroianni y apparaissent en personne, ces deux derniers pendant le tournage de "La dolce vita" à la Fontaine de Trevi, avec l'inoubliable scène où Anita Ekberg s'y baigne. La perle cinématographique d'Ettore Scola nous raconte le parcours de vie de trois amis dans l'Italie de l'après-guerre et nous montre comment les gens peuvent évoluer avec le temps. Le film mêle l'époque où il a été réalisé à celle de la Résistance pour raconter entre autres, comme un kaléidoscope, l'histoire de la gauche italienne entre utopie et accomodements, et aussi, à travers un des personnages, l'histoire du cinéma italien. "C'eravamo tanto amati" (Nous nous sommes tant aimés) est un film qui s'adresse au cœur et nous rapproche à la fois d'un pays et de ses habitants à travers un récit tangible. Une tragi-comédie enjouée, amusante et élégante qui pondère satonalité amère avec des nuances satiriques. Walter Ruggle
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L'intrepido
Gianni Amelio
Italie
111′
Antonio Pane est un homme apaisé. On pourrait presque dire qu’il vole à la façon dont il avance dans le quotidien d’une Italie qui va mal. Nous le suivons dans l’exercice des nombreuses professions qu’il exerce car Antonio a inventé une occupation particulière: il remplace qui le lui demande, pour quelques heures ou plus, pour un mariage, une visite chez le médecin, une conversation avec sa fille. Voici Antonio, l’Intrepido, l’inébranlable. Comment réaliser un film sur un pays en crise profonde? Comment parler du bonheur alors que tout va mal? Comment passer entre les écueils du récit à l’eau de rose ou au contraire noir et désespéré? Comment surtout rendre justice aux sans-grades, aux victimes d’un système mondialisé sans tomber dans la démagogie facile? Partant de là, on ne peut qu’apprécier le tour de force réalisé par Gianni Amelio nous livrant une histoire ciselée, sensible, émouvante. Antonio fait des remplacements quel que soit le travail, maçon, livreur, cuisinier et même conducteur de tram. Il traverse une Milan revêtue d’un costume futuriste où tours et grattes-ciel s’élèvent parmi les fourmis qui les montent (travail fantastique du décorateur Giancarlo Basili). Il émane de cet homme solitaire une aura étrange: une sorte de paix intérieure, le sentiment qu’il voit et ressent ce que les autres qu’il côtoie ne voient et ne ressentent pas. Elle lui permet d’entrer en contact avec les êtres les plus désespérés, comme Lucia par exemple. Il se dégage une sensibilité d’une force irrésistible de la mise en scène d’Amelio, dans la façon qu’il a de filmer Antonio (Antonio Albanese qui nous offre une composition sublime) et ses rencontres improbables, sa solitude, les gestes les plus banals de son quotidien. On voit bien que le regard d’Amelio est des plus désespérés, que le Miracle à Milan de de Sica ne serait plus possible aujourd’hui, ou alors il serait factice, pas crédible. Ainsi L’Intrepido n’est pas un héros qui arrive à bout de tout. Il ne sauve rien, ni personne. Et pourtant... Malgré les échecs, les avanies, les pertes, Antonio l’inébranlable continue de chercher ce que ses protagonistes ne voient plus depuis longtemps, le bonheur. Et c’est cette attitude que l’on retient de tout le film: Antonio, envers et contre tout, ne survit pas, il vit.
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Storia probabile di un Angelo - Fernando Birri
Paolo Taggi Domenico Lucchini
Italie
76′
Voyage dans le monde et l’œuvre de Fernando Birri, le grand maître du cinéma sud-américain. Comme celui-ci le disait, ce sont «les dernières volontés de son cinéma spirituel».
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Figlia mia
Laura Bispuri
Italie
97′
Vittoria, 10 ans, vit avec sa mère en Sardaigne. Elles ont une relation fusionnelle jusqu’à ce que Vittoria rencontre Angelica, une jeune femme sauvage en perte de repères. Intriguée par cette curieuse femme, Vittoria passe de plus en plus de temps avec elle dans le dos de sa mère. Elle finit par découvrir la vérité : Angelica est sa mère biologique. Toutes trois vont alors devoir se pardonner, puis s’accepter, pour finalement apprendre à s’aimer.
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