Film & cinéma

Parlons Grand-mère (1989)
Djibril Diop Mambéty
Sénégal
34′
Le réalisateur de Touki-Bouki a suivi et filmé le tournage de Yaaba, deuxième long métrage d'Idrissa Ouédraogo. Documentaire plein d'humour sur les aléas d'un tournage au Burkina Faso.
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Careless Crime
Shahram Mokri
Iran
136′
Il y a 40 ans, la révolution iranienne était sur le point de balayer la dictature du Shah. Mais son principal soutien, le monde occidental, et sa culture, furent aussi visés. Des cinémas furent brûlés et l’un de ces incendies fit 478 victimes. Ce drame va-t-il se reproduire dans le présent en pleine projection?
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Khook
Mani Haghighi
Iran
108′
Hasan, cinéaste iranien, est sur une liste noire et ne peut plus tourner. Situation déjà pénible pour quelqu’un sûr de son talent. Et voilà qu’un psychopathe se met à décapiter ses collègues, semblant l’ignorer, lui, qui est le meilleur... Et moi, et moi? Maniant l’humour avec un sens certain de l’absurde, Mani Haghighi occupe définitivement une place à part dans le cinéma iranien, pour le plus grand plaisir du spectateur, de la spectatrice. Surréalisme à l’Iranienne. Lorsqu’on évoque le cinéma iranien en Europe, c’est le plus souvent le réalisme et un cinéma minimaliste qui vient à l’esprit des critiques. Eh bien, Mani Haghighi est en train, film après film, de casser toutes ces conventions associées au cinéma de son pays. On rencontre le ventripotent Hasan, accoutré d’un agressif t-shirt à la gloire d’AC/DC, lors du vernissage d’une exposition. Il vient d’apprendre qu’un quatrième cinéaste vient d’être assassiné, un ami à lui. Mais ce n’est pas là son problème immédiat: Shiva, son actrice fétiche et sa maîtresse, lassée d’attendre, va le «trahir» en allant jouer dans un film du bellâtre Saïdi. Pour Hasan, c’en est trop: son bannissement qui n’en finit pas, le psychopathe qui continue de l’ignorer, et maintenant Shiva... Il retourne chez sa mère qui le consolera en lui promettant que l’assassin, en fait, garde le meilleur pour la fin! Des scènes ubuesques à la Buñuel, des dialogues et des situations qu’on pourrait croire sortir d’un film de Woody Allen et, pour couronner le tout, des répliques à la logique très «Monty Pythonienne». C’est un véritable festival que nous propose Mani Haghighi - qui n’hésite d’ailleurs pas à «s’exécuter» lui-même. Khook (Cochon en farsi) est une comédie surréaliste qui tire sur tout ce qui bouge autour de la caméra. Bien sûr, les autorités de censure en prennent pour leur grade et sont défiées - relations hommes-femmes libérales, bals costumés, musique de hard rock, etc., mais les milieux artistiques de Téhéran, du cinéma en particulier, ne sont pas épargnés non plus: ainsi le tournage ubuesque d’un spot publicitaire, dirigé par un Hasan qui y voit une occasion de remontrer son talent, pour une marque d’insecticide. C’est jouissif, drôle et ici le charme de la bourgeoisie (du cinéma) n’est pas du tout discret. Martial Knaebel
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Jiri Menzel - To Make A Comedy Is No Fun
Robert Kolinsky
République Tchèque
79′
La vraie passion de Jiří Menzel est le théâtre. Sa carrière cinématographie doit, elle, beaucoup au hasard. Pourtant, le Tchèque de 77 ans a gagné un Oscar et ses fans et amis s'appellent notamment Miloš Forman, Ken Loach, Emir Kusturica et Julia Jentsch. István Szabo affirme même être son plus grand fan. Pour la première fois, le film raconte l'histoire de cet extraordinaire réalisateur, metteur en scène de théâtre et homme du XXe et XXIe siècle.
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To the Ends of the Earth
Kiyoshi Kurosawa
Ouzbékistan
120′
Des Japonais sont en Ouzbékistan pour une émission de voyage à la découverte des côtés originaux et exotiques du pays. Mais rien ne se déroule vraiment comme espéré et il manque du temps de prises de vue pour boucler l’émission. Kiyoshi Kurosawa abandonne sa vision pessimiste du monde moderne pour nous proposer un voyage plus apaisé et peut-être plus optimiste. Le film de clôture 2019 sur la Piazza Grande à Locarno.
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Those Wonderful Movie Cranks (1978)
Jiri Menzel
République Tchèque
89′
Au début du XXe siècle, un projectionniste fait le tour des villages de Bohême et rêve d'ouvrir un cinéma à Prague. Il s'allie à un jeune cameraman (joué par Jiří Menzel), qui lui aussi a un rêve: faire des films réalistes qui traitent de ce que vivent les gens. Ces merveilleux hommes à la manivelle de Menzel est l'un des plus beaux hommages aux pionniers de l'ère du muet, et le film est aussi une réflexion mélancolique sur les concessions nécessaires. «Le film est une perspicace chronologie de l'échec. (...) Menzel la raconte avec des épisodes tantôt joyeux, tantôt mélancoliques, dans lesquels il laisse avec virtuosité s'enchaîner les différents niveaux filmiques: l'extase de l'illusion face aux images en noir et blanc de la première heure - filmées par Menzel dans un style approprié - rencontre le bel univers en trompe-l'œil d'une classe moyenne supérieure soucieuse de son statut (...). La description pleine de poésie de la situation historique est ainsi rompue par la distance d'une première réévaluation cinématographique». (dhm.de)
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