Écologie & climat

Lunana - A Yak in the Classroom
Pawo Choyning Dorji
Bhoutan
109′
Ugyen doit encore accomplir un an de service national et le ministère l’envoie à Lunana pour remplacer l’instituteur. Alors que le jeune homme rêve d’émigrer en Australie, le voici sur la route, puis les sentiers, pour rejoindre l’école la plus isolée du Bhoutan – et la plus isolée du monde, perchée à plus de 3400 mètres d’altitude. Bienvenue au pays du «Bonheur National Brut», où pourtant l’éducation ne va pas toujours de soi.
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Dersu Uzala (1975)
Akira Kurosawa
Japon
136′
Une nuit de 1902, alors qu’il bivouaque avec quelques soldats lors d’une expédition dans la région de l’Oussouri, le capitaine russe Vladimir Arseniev, grand explorateur de l’Extrême-Orient, voit arriver un petit homme trapu, Dersou Ouzala, habile chasseur d’origine mongole et familier de la région. Les deux hommes sympathisent immédiatement et Dersou accepte de servir de guide à l’expédition bientôt soumise à de terribles obstacles tels que le froid, la fatigue et la faim. Cinq ans plus tard, les deux hommes se retrouvent pour un nouveau périple. «Dodeskaden (1970), le précédent film du réalisateur japonais, fut un échec commercial. Ostracisé par les producteurs, malade, suicidaire, Akira Kurosawa s’enferma dans un long silence qu’il ne rompit qu’après avoir accepté la proposition de tourner en Russie. Kurosawa, féru de culture russe, se souvint alors de sa lecture des mémoires de l’écrivain et explorateur Vladimir Arseniev (Derzu Uzala, 1907, Dans la contrée de l’Oussouri, 1921), par ailleurs très appréciés par Maxime Gorki. L’humanisme généreux de Kurosawa avait été frappé par les qualités morales qui faisaient du chasseur mongol un vieux sage, ainsi que par la très forte amitié qui soudait deux hommes a priori très différents. Ayant obtenu carte blanche de la part des producteurs, le cinéaste put tourner sur les lieux mêmes explorés par Arseniev et donner ainsi le souffle nécessaire à la beauté de son sujet.» (CNDP)
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Ecuador
Jacques Sarasin
Équateur
75′
Dans un monde à sens unique, où les pays du nord exportent leur modèle économique et politique dans le monde entier, il existe un pays d’Amérique latine qui s’est engagé dans une réforme profonde de ces modèles et invente une nouvelle gouvernance, pragmatique et humaniste.Ce pays est l’Equateur.Rafael Correa, économiste réputé, venu à la politique comme on part en mission, en est devenu le Président en 2006.Il a transformé un pays aux structures archaïques en une démocratie participative, sociale, indépendante et écologique.Aux équatoriens, il a apporté l'espoir que les vieilles structures figées n'étaient pas une fatalité, que tous les citoyens avaient leur mot à dire et qu'il y aurait enfin quelqu'un pour les écouter. Ce film est fait pour tous, habitants des pays riches et en développement ; il ouvre des perspectives concrètes vers une nouvelle façon de vivre la globalisation. Il montre que d’autres projets politiques, écologiques et économiques sont possibles.Ce film n’est pas un film sur l’Equateur, mais sur un projet politique, sur une utopie devenue réalité. Il est porteur d’idées, de réflexions et de solutions sur les crises actuelles, et il propose un vrai débat autour de l’avenir de nos sociétés.
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Fukushima - No Man's Zone
Toshi Fujiwara
Japon
105′
Fukushima. Un nom célèbre dans le monde entier après le 11 mars 2011, où la côte nord-est de l’île d’Honshu fut secouée par un séisme, puis submergée par un tsunami. C’est aussi la centrale nucléaire qui a subit des dommages équivalents à ceux de Tchernobyl. Quelques mois plus tard, le documentariste japonais Toshi Fujiwara s’est rendu sur place, dans la zone d’exclusion, la No Man’s Zone. Des rues couvertes de gravats, des bateaux échoués loin du rivage... et le silence. L’impact d’un tsunami est bien visible avec ses dégâts spectaculaires. Puis, plus rien. Ou plutôt un panorama champêtre avec un arbre en fleurs majestueux attestant de l’arrivée du printemps. Les suites les plus dramatiques du tsunami sont invisibles. Une voix neutre, où pointe pourtant une certaine émotion, nous en parle. Nous sommes dans la zone d’exclusion de la centrale nucléaire qui a cessé de fonctionner, lâchant dans l’atmosphère une énorme quantité de particules radioactives. Une zone interdite où nous rencontrons des gens qui essaient de sauver leur maison, ou qui simplement refusent de quitter leur foyer pour l’inconnu, organisé par un gouvernement dépassé par l’ampleur de la catastrophe, réagissant sans logique apparente, incapable d’informer correctement les populations, ballottées entre centres de réfugiés et hôtels, qui ne savent pas quand elles pourront retourner chez elles. Fujiwara ne dénonce pas, tel un Stalker - allusion pertinente d’un critique japonais au film de Tarkovski - il nous guide dans les recoins de cette zone interdite. No Man’s Zone nous propose et nous invite ainsi à une réflexion sur notre rapport à l’image et notre dépendance vis-à-vis d’elles.
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Trans-Cutucu, retour à la forêt (2009)
Lisa Faessler
Équateur
92′
Deux énormes bulldozers jaunes creusent simultanément la terre rouge carmin alors que plusieurs chevaux se lèchent mutuellement leurs plaies dues aux lourdes charges qu’ils transportent. À quelques mètres de là se parque un car pour permettre à des touristes occidentaux de descendre. Ils souhaitent atteindre à pied les cabanes en bois au-dessus du chantier. Il s’agit de la construction de la route Trans-Cutucú Amazonía, qui traversera les terres quasiment vierges des Indiens. Elle servira à faciliter le transport du bois depuis les villages jusqu’à la capitale de la province Morona-Santiago. Dans Trans-Cutucú, la réalisatrice Lisa Faessler montre les rudes conditions de vie des indigènes Equatoriens, qui subissent une pression croissante de l’industrie. Un agriculteur cultivant la canne à sucre explique qu’il n’arrive plus à se débarrasser de sa récolte, car les marchands ne lui paient quasiment rien. Comme la plupart de ses camarades du village, il ne peut rien faire d’autre que s’attaquer à son propre espace de vie, la forêt tropicale, pour en vendre le bois à bon prix. Pour opérer un contraste aux images de la situation actuelle, la réalisatrice utilise des séquences en noir et blanc datant de 1986, dans lesquelles de vieux Indiens, tour à tour ivres et sobres, racontent des histoires sur la nature mystique. Ces anciens documents présentent aussi des actes rituels: la recherche de chutes d’eau sacrées ou le fait de boire un alcool fort particulièrement mauvais. Un documentaire subtil sur le profond fossé entre une tradition centenaire et le caractère irrémédiable de la modernisation.
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Les Bêtes du sud sauvage
Benh Zeitlin
États-Unis
93′
La vie d'une petite fille est radicalement transformée quand son père est victime d'une étrange maladie, alors même que le monde subit un déclin brutal. La hausse des températures entraine une montée des eaux et libère des créatures préhistoriques. L'enfant décide alors de partir à la recherche de sa mère.
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Grain
Semih Kaplanoglu
Turquie
128′
Dans un avenir proche, les récoltes permettant de nourrir les populations de villes ultra-protégées dépendent de semences OGM produites par des conglomérats privés. Mais ces graines ont un dramatique problème de reproduction. Pour tenter de le résoudre le professeur Erol Erin veut retrouver le généticien Cemil Akman, dont la thèse avançait une explication à cette énigme et fut pourtant censurée par les autorités. Pour le rencontrer, Erin devra quitter la ville protectrice pour les Terres Mortes. Après avoir remonté le temps avec sa trilogie de Yusuf magistralement conclue avec Bal (Miel, 2010, Ours d’or à Berlin), Semih Kaplanoglu s’aventure cette fois-ci dans le futur. Et, même si nous sommes loin des films catastrophes à la sauce Hollywood, cet avenir n’a rien d’engageant. D’autant plus que Kaplanoglu ne s’éloigne que de très peu de ce que vivent déjà certaines parties du monde. Cela est d’ailleurs si «vrai» que les décors choisis par le réalisateur sont directement filmés de la réalité: la ville en ruine, c’est Detroit. La barrière électrique, c’est celle dont rêvent certains hommes politiques. Cependant, là où le matérialisme occidental cherche des solutions techniques face à la destruction de la planète, Kaplanoglu préfère explorer des voies plus philosophiques. Comme l’avait fait avant lui Andreï Tarkovsky avec son Stalker. Dans ce film aussi, deux hommes pénètrent dans un no man’s land pollué et supposé mortel pour l’homme. C’est cette recherche philosophique - certains diront même mystique en pensant au cinéaste russe - qui intéresse Semih Kaplanoglu, qui guidera ses choix esthétiques. Comme le noir et blanc qui imprime une beauté austère aux images, qui souligne aussi le vide de ces plans larges, déserts de dunes ou de béton. La particule humaine est ainsi un film d’aventure - car de l’action, il y a - où le progrès scientifique est confronté à une barrière techniquement infranchissable, essaie de nous dire Kaplanoglu qui semble chercher une clé dans la philosophie soufie. Une pensée et des images nous semblent alors familières : Nacer Khemir, avec son instituteur dans Les Baliseurs du désert, cherchait lui aussi une réponse parmi les dunes d’une terre hostile. Martial Knaebel
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Pepe Mujica - El presidente
Heidi Specogna
Allemagne
93′
Ancien combattant de la résistance élu président de l'Uruguay et donnant presque 90% de son salaire pour des projets sociaux : Pepe Mujica, l'une des personnalités les plus charismatiques d'Amérique du Sud, est devenu célèbre en tant que « président le plus pauvre du monde ». Lui qui a passé de nombreuses années en prison pour des raisons politiques, est toujours resté fidèle à ses idéaux. Son train de vie modeste - au lieu du Palais présidentiel, il habite une petite propriété rurale - et sa façon d'agir en dehors du système des conventions, sont le ciment de sa crédibilité auprès de toute la population de son pays. Pepe Mujica défend ses priorités avec humour, intelligence et passion. Son action politique pour une société plus juste rencontre une résonance et un soutien international grandissants. La cinéaste Heidi Specogna et son caméraman Rainer Hoffmann ont rencontré Pepe Mujica et son épouse Lucía Topolansky à de multiples reprises pour les accompagner avec la caméra. De ces moments de rencontres, un film-hommage est né pour brosser le portrait d'une personne extraordinaire qui, à près de 80 ans, a su garder tout son courage, sa contagieuse joie de vivre, son humanité et son espoir de voir des changements se réaliser. « Pepe Mujica - el presidente » est un film optimiste et émouvant, qui donne de la force.
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Night Moves
Kelly Reichardt
États-Unis
108′
Josh travaille dans une ferme biologique en Oregon. Au contact des activistes qu'il fréquente, ses convictions écologiques se radicalisent. Déterminé à agir, il s'associe à Dena, une jeune militante, et à Harmon, un homme au passé trouble. Ensemble, ils décident d'exécuter l'opération la plus spectaculaire de leur vie.
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